samedi 9 décembre 2023

La revue de décembre a été distribuée

 














Cette première page du numéro 419 de décembre, est dédiée aux vœux de bonnes fêtes que les co-présidents, Colette Carayol-Laffage et Bruno Milhé adressent à nos amis et fidèles lecteurs, au nom de toute l'équipe de Gruissan d'Autrefois.

Ils plongent leur regard dans le passé, celui où un jouet en bois attaché au bout d’une ficelle, quelques fruits, ou un cache-nez tricoté par une Mémé, suffisaient à combler le désir, l’attente des enfants.

Aujourd’hui, les excès de la société de consommation, accentuant les différences, oublient les enfants des familles modestes.

En pages 2 et 3 Jean Boucabeille fait revivre une figure historique du village, Charles Bouis, le garde champêtre surnommé « Chiappe », nom du Préfet de police de Paris à l’époque.

Sa tenue, avec képi, guêtres et grande pèlerine noire, sa sévérité, en faisaient une cible privilégiée pour les enfants qui l’ont beaucoup tourmenté. Jean Boucabeille a été un artisan très actif de ces plaisanteries inconsciemment cruelles.

Naître un jour de Noël est-ce un rare privilège ou un notoire désavantage ? C’est la question que Bruno Milhé, « Lo Cosin » se pose avec humour dans la page 4 de la revue. Deux fois moins de cadeaux, la bûche de Noël en gâteau d’anniversaire : Noël relèguerait-il la célébration de l’anniversaire au second plan ?

La question ne se posait pas dans les temps où sévissait un taux élevé de mortalité infantile. Une naissance le jour de Noël était « un cadeau du ciel ». Combien de Gruissanaises et de Gruissanais ont donné cette joie à leurs parents

                                                                               Claire Courdil



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