Dans la première page de la revue 405 d’octobre, Jean BOUCABEILLE évoque le temps où l’Ayrolle offrait la vision de nombreuses baraques qui fourmillaient de vie, grâce aux pêcheurs. C’étaient de pauvres abris élaborés avec du matériel de récupération. Leur poésie a inspiré de nombreux artistes.
Qui se souvient des trois moulins du
Pech ? Marie-France Hurtado nous les rappelle en page 4 à la faveur
d’un
tableau peint en 1943 par un occupant allemand. L’œuvre avait remporté le
premier prix d’un concours de l’armée allemande qui, malgré la guerre, n’avait
pas été insensible au charme de notre village.
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