Confinement oblige, la distribution de la revue du mois d'avril est bien entendu différée.
A titre exceptionnel, pour donner un avant goût de son contenu à nos abonnés, apaiser l'impatience de nos lecteurs(trices), et pour donner envie à d'autres internautes d'adhérer à notre mensuel, nous vous délivrons en avant-première un petit résumé de notre prochain numéro.
GRUISSAN d'AUTREFOIS
Avril
2020 - Distribution de la revue à une date indéterminée
En première page du numéro 375 d’avril,
Jenny BLANCH nous livre l’émouvant récit du drame qui affecta ses ancêtres,
lors du naufrage du 10 ventôse an V (28 février 1797). Ce jour-là, Mathieu
BONNOT 62 ans et son fils Mathieu 33 ans, disparurent dans les flots au cours
de la terrible tempête.
Étrange destinée qui signe la continuité
de la vie, un petit Mathieu naîtra chez le fils décédé de 33 ans et un autre
chez son frère Antoine.
En pages 2 et 3, « Lo Cosin »
Bruno MILHÉ et son complice Léon TINÉ nous rapportent la savoureuse anecdote
d’un transport atypique, pour rejoindre Coursan où le club local devait affronter Fleury en match amical.
Puis Bruno, à partir d’un article paru
dans Midi Libre, retrace la naissance de l’Aviron Gruissanais et les péripéties
qui émaillèrent son existence ; les ressources n’étaient pas brillantes,
mais les dirigeants faisaient preuve d’ingéniosité pour alimenter la caisse du
club.
Malgré bien des difficultés, l’Aviron
Gruissanais devint le creuset où s’affirmèrent des talents de niveau national voire international qui hélas émigrèrent vers des clubs plus prestigieux.
En page 4, Claire COURDIL rappelle les termes de l’accord du mois d’avril 1947 signé entre patrons et ouvriers agricoles.
Après 65 ans de guerre, un régime
d’austérité est imposé à la classe ouvrière. Suite aux privations et aux longs
mois d’efforts pour la reconstruction, les travailleurs sont à bout. La grève
sera la réponse à leur mal-être. Les ouvriers agricoles rejoindront la lutte initiée
par Renault et obtiendront de substantielles augmentations.
En pages 5 et 6, Claire COURDIL, sur une
idée de Marie-France HURTADO, nous conduit dans l’Allée des Naufragés en
printanière métamorphose.
Le chaos y est partout, dans la
poussière, le bruit, le bouleversement du sol. Mais quoi de plus riche en
promesses qu’un chaos ?
Grâce aux artisans du renouveau qui
s’affairent sur le site, bientôt l’Allée des Naufragés magnifiée sera à nouveau
accessible à tous les pèlerins.
Les illustrations et la mise en page de
Marie-France HURTADO témoignent de l’importance du chantier et de la
renaissance qui se prépare.
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