samedi 11 avril 2020

En attendant la revue du mois d'AVRIL....

Confinement oblige, la distribution de la revue du mois d'avril est bien entendu différée.
A titre exceptionnel, pour  donner un avant goût de son contenu à nos abonnés, apaiser l'impatience de nos lecteurs(trices), et pour donner envie à d'autres internautes d'adhérer à notre mensuel, nous vous délivrons en avant-première un petit résumé de notre prochain numéro.


GRUISSAN d'AUTREFOIS
Avril 2020 - Distribution de la revue à une date indéterminée

En première page du numéro 375 d’avril, Jenny BLANCH nous livre l’émouvant récit du drame qui affecta ses ancêtres, lors du naufrage du 10 ventôse an V (28 février 1797). Ce jour-là, Mathieu BONNOT 62 ans et son fils Mathieu 33 ans, disparurent dans les flots au cours de la terrible tempête.
Étrange destinée qui signe la continuité de la vie, un petit Mathieu naîtra chez le fils décédé de 33 ans et un autre chez son frère Antoine.


En pages 2 et 3, « Lo Cosin » Bruno MILHÉ et son complice Léon TINÉ nous rapportent la savoureuse anecdote d’un transport atypique, pour rejoindre Coursan où le  club local devait affronter Fleury en match amical.
Puis Bruno, à partir d’un article paru dans Midi Libre, retrace la naissance de l’Aviron Gruissanais et les péripéties qui émaillèrent son existence ; les ressources n’étaient pas brillantes, mais les dirigeants faisaient preuve d’ingéniosité pour alimenter la caisse du club.
Malgré bien des difficultés, l’Aviron Gruissanais devint le creuset où s’affirmèrent des talents de niveau national voire international qui hélas émigrèrent vers des clubs plus prestigieux.


















En page 4, Claire COURDIL rappelle les termes de l’accord du mois d’avril 1947 signé entre patrons et ouvriers agricoles.
Après 65 ans de guerre, un régime d’austérité est imposé à la classe ouvrière. Suite aux privations et aux longs mois d’efforts pour la reconstruction, les travailleurs sont à bout. La grève sera la réponse à leur mal-être. Les ouvriers agricoles rejoindront la lutte initiée par Renault et obtiendront de substantielles augmentations.

En pages 5 et 6, Claire COURDIL, sur une idée de Marie-France HURTADO, nous conduit dans l’Allée des Naufragés en printanière métamorphose.
Le chaos y est partout, dans la poussière, le bruit, le bouleversement du sol. Mais quoi de plus riche en promesses qu’un chaos ?
Grâce aux artisans du renouveau qui s’affairent sur le site, bientôt l’Allée des Naufragés magnifiée sera à nouveau accessible à tous les pèlerins.
Les illustrations et la mise en page de Marie-France HURTADO témoignent de l’importance du chantier et de la renaissance qui se prépare.

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