Revue
de Gruissan d’Autrefois
Février
2020
En première page du numéro 373 de
février, Jean-Claude COURDIL nous offre une brassée de fleurs d’amandier.
Il nous rappelle que l’amandier
« arbre des plus éclatants, des plus vigoureux, des plus symboliques,
proclame bruyamment le printemps ».
En pages 2 et 3, Claire COURDIL retrace
la carrière de l’Amiral Courbet. Il naît à Abbeville le 26 juin 1827, bien loin
de GRUISSAN que sa renommée va cependant atteindre. De Polytechnique à la
Marine, de Toulon à la Nouvelle Calédonie, il ne cesse de s’illustrer par son
intelligence et son courage. Mais c’est à la tête de l’Escadre des Mers de
Chine qu’il donne la mesure de son énergie et de son audace. Nommé Commandant
en Chef de toutes les forces navales d’Extrême Orient, il éblouit la
Municipalité de GRUISSAN par ses brillantes victoires.
Le 31 août 1884,
Monsieur PONS, Maire de GRUISSAN, lui adresse le témoignage de son
admiration : « Honneur au savant et audacieux marin qui a su montrer
aux yeux de l‘univers le drapeau triomphant de la République ». Ne nous
étonnons pas qu’une rue de GRUISSAN porte le nom de l’Amiral Courbet !
En page 4, Jean BOUCABEILLE nous
rappelle la venue des Tsiganes nomades, dans leurs petites roulottes tirées par
des chevaux surchargés ou des enfants pauvrement vêtus.
Chiffonniers, rempailleurs de chaises,
rémouleurs, nous ont laissé bien des souvenirs. Et les rues se sont tues des
cris, des appels et des voix qui nous informaient ou nous haranguaient.
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