Depuis le mois de septembre a débutée la campagne d'abonnement à notre revue mensuelle pour l'année 2026. Elle va se poursuivre le 21 novembre, date de notre assemblée générale pour se terminer le 31 décembre 2025. Toutefois, les retardataires parmi nos fidèles adhérents auront jusqu'au 28 février 2026 pour régler leur cotisation. Passé ce délai supplémentaire, la distribution de la revue dans leur boîte aux lettres sera suspendue le temps que que soit régularisée leur adhésion.
Pour rappel: Cotisation annuelle = 12 € pour les revues distribuées sur Gruissan
Cotisation annuelle = 17 €50 pour les revues envoyées par la poste
Pour les internautes désireux de s'abonner pour la première fois, vous trouverez ci-dessous un bref résumé des revues d'octobre et novembre, rédigé par Claire COURDIL.
En page 1 du numéro 441 du mois d’octobre, la photo proposée par Claire COURDIL présente un magnifique feuillage automnal. Or ou rougeoyante, la parure des arbres répand sa gaieté légère avant que ne s’enfuient les beaux jours.
Au cours des pages suivantes, Lo Cosin, Bruno Milhé, retrace la vie de Numa Azibert. Ce personnage haut en couleur a marqué la vie gruissanaise et cantonale dans la seconde moitié du 19e siècle. Propriétaire viticole, Franc-maçon, Libre penseur, il s’engagea fortement dans la vie politique. CLAIRE COURDIL
Colette Laffage Carayol, en première page de novembre, nous conduit sur les routes de l’Ayrolle et de Mandirac. Le développement de Gruissan a pu se lire le long de ces chemins devenus routes à grande circulation, notamment l’été.
En pages 2 et 3, Claire Courdil présente de nouveaux travaux sur Graniès, destinés à dégager l’entrée du garage pour Pak. Le 22 janvier 2024, le froid est vif. Le tractopelle de Christophe avance dans une gloire de poussière. Patrick, Stéphane et Jean-Pierre s’affairent pour que lors de la cérémonie du 15 août 2024, le canon puisse s’offrir à la vue des visiteurs : Ce qui fut fait !
En page 4, Lo Cosin, Bruno Milhé, rappelle la mutinerie des coolies survenue à bord du Tamaris. Elle s’est soldée par le sacrifice du capitaine, le Gruissanais Philippe Raunié désireux de sauver son équipage.
CLAIRE COURDIL

